Tu arrives, tu trouves la porte ouverte, tu essaies de rentrer sans faire de bruit, tu entres, tu refermes la porte, tu regardes à gauche, à droite : il n’y a personne. Tu commences à t’inquiéter, tu soulèves ta tête, tu vois l’infini. Tu regardes en bas, tu vois le sol et la souffrance. Tu t’approches de l’escalier, tu le montes pas à pas. Ton arrivée se fait sentir, mais c’est impossible de l’exprimer. Enfin tu t’approches de la porte de la chambre. Une fois la porte ouverte, tu es près d’une personne dont tu soulages les chagrins par ta présence.
Tu es inquiète ; tu as l’impression de faire peur aux meubles de la chambre. Des larmes affleurent dans tes yeux, tu respires de plus en plus en fort, tu t’immobilises…
Il fait jour. Les petits rayons lumineux entrent par le rideau, illuminent ton visage, puis tombent sur les yeux d’une personne très proche de toi et l’empêchent de dormir. Maintenant c’est le pire : il est l’heure, le reveil sonne, tu fais semblant de ne pas entendre. Mais tu es oblig ée de te lever. Tu te lèves doucement pour ne pas réveiller celui qui est près de toi. Dans ton visage se lit la paresse, l’envie de rester endormie avec cette personne… tes os, tes lèvres tremblent , on entend les craquements de tes dents. Enfin, tu as froid…
SINESEUCLE..
Tu es inquiète ; tu as l’impression de faire peur aux meubles de la chambre. Des larmes affleurent dans tes yeux, tu respires de plus en plus en fort, tu t’immobilises…
Il fait jour. Les petits rayons lumineux entrent par le rideau, illuminent ton visage, puis tombent sur les yeux d’une personne très proche de toi et l’empêchent de dormir. Maintenant c’est le pire : il est l’heure, le reveil sonne, tu fais semblant de ne pas entendre. Mais tu es oblig ée de te lever. Tu te lèves doucement pour ne pas réveiller celui qui est près de toi. Dans ton visage se lit la paresse, l’envie de rester endormie avec cette personne… tes os, tes lèvres tremblent , on entend les craquements de tes dents. Enfin, tu as froid…
SINESEUCLE..
3 commentaires:
tu pourrais entrer dans les pensées de la personne. je trouve que tu decris plus.
Woooow, c'est cool de retrouver ce que j'ecrivais en 3eme..
Grand Merci a Mr Thibaud.
Grand merci à toi d'avoir confié ton texte... Je me souviens de la salle info, des heures à attendre que "ça passe"... Et de toi, qui en 3e avais déjà la carrure d'un à qui on n'en raconte pas !
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